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Actualité

 

Algérie : Le CNES demande l’arbitrage du chef du gouvernement

 

CNES AlgérieAlgérie - Les enseignants grévistes du supérieur n’ont perçu aucun signe d’apaisement même si le ministre de l’Enseignement supérieur a déclaré, mercredi, avoir «bon espoir» de voir les choses se débloquer dans deux ou trois jours.

L’extinction des poursuites judiciaires engagées à l’encontre des trois coordonnateurs nationaux demeure la condition sine qua non pour toute issue à la crise actuelle de l’université. Les assurances du ministre et le retrait des plaintes par le ministre n’ont pas contribué, jusqu’ici, à changer le cours des événements.

La coordination des sections CNES grévistes demande l’intervention du chef du gouvernement pour dénouer la crise qui secoue depuis plus de trois mois l’université.

«Le ministre de l’Enseignement supérieur n’a rien fait, jusqu’à présent, pour débloquer la situation, nous comptons saisir le chef du gouvernement pour discuter de la crise de l’université et du mouvement de grève», a déclaré, hier, le représentant de la section CNES de l’USTO, M. Mekkaoui. Selon ses propos, «tous les examens seront bloqués avec la nouvelle rentrée universitaire. Le mouvement de grève est maintenu».

Réunies jeudi et vendredi à Alger, les sections syndicales de 19 établissements en grève ont décidé, en plus de la demande d’audience au chef de l’exécutif, de lancer un appel à toutes les assemblées générales pour la tenue d’un rassemblement, le 18 septembre prochain, devant le palais du gouvernement.

Dans la déclaration rendue publique après cette rencontre, la coordination nationale souligne que «les propos rassurants du ministre sur cette rentrée universitaire ne peuvent occulter la réalité, à savoir le blocage des flux d’étudiants, unique préoccupation des pouvoirs publics, et la non validation à ce jour de l’année 2005/2006".

Le syndicat affirme que «toutes les pressions, intimidations et manoeuvres du ministre et de certains chefs d’établissements n’ont pas réussi à entamer la détermination et la mobilisation des enseignants».

Par B. Mokhtaria - Quotidien Oran

 

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